En tant qu’actrice culturelle engagée dans la promotion des initiatives citoyennes et patriotiques, j'exprime mon indignation face aux pratiques dénigrantes et nauséeuses observées récemment sur des plateaux télévisés, notamment sur la TFM mettant en scène de manière hideuse, l'honorable député Amadou Ba, dans le but de l'humilier, de le mettre en mal avec son mentor de Premier ministre devenu le gibier de flingueurs râteliers à effacer de la scène publique.
Je fus personnellement victime de ces manœuvres abjectes, émanant de ce groupe médiatique d'où ma décision de décliner toutes leurs invitations.
Cette posture n’est pas motivée par la crainte du débat mais par le respect de principes fondamentaux : l’éthique, la vérité et l'honnêteté intellectuelle que doit s'imposer toute personnalité publique.
Dans un contexte où l’engagement pour le développement du Sénégal doit transcender les clivages partisans, il est impératif que certains médias jouent un rôle de rassembleur et non d’instrument de récupération ou de manipulation.
Il est temps que les forces vives de la nation, y compris le Pastef et les autres courants politiques, prennent conscience des dérives de certains médias et orientent leur communication vers des plateformes plus sérieuses et respectueuses des principes républicains.
La Sonkophobie, cette forme insidieuse de bashing médiatique ciblé, doit cesser.
Ce combat dépasse les intérêts partisans : il s’agit de sauvegarder notre unité nationale et de protéger l'intégrité de ceux qui œuvrent sincèrement pour le progrès du Sénégal. Le débat doit tourner autour des enjeux mis en exergue par l'Agenda 2050 et non au-dessous des ceintures de pseudos nains intellectuels incapables de disséquer leur propre "aventure ambiguë ".