Septembre 2023- février 2024 : Le marathon sénégalais de l'immoralité et de l'amoralité politique

08 - Octobre - 2023

A partir de septembre 2023, plus de 120 sénégalais sont sur le starting block pour le départ du marathon politique présidentielle. Tout sénégalais voire tout être humain soucieux du bien-être de la nation sénégalaise a peur et a commencé à prier notre Dieu Unique pour protéger le Sénégal, ses citoyens et les étrangers qui vivent parmi nous. " Et nous mettrons une barrière devant eux et une barrière derrière eux ; nous les recouvrons d'une voile et voilà qu'ils pourront rien voir" (Sourate 36 Yasin- verset 9), "Dieu est mon allié, ma forteresse, ma citadelle, celui qui me libère, le bouclier qui m'abrite" (Psaume 143). Nation de croyants musulmans et catholiques, les sénégalais doivent prier le Seigneur Unique pour nous protéger contre cette classe politique sénégalaise aigrie, assoiffée de pouvoir et prête à marcher sur des montagnes de cadavres de jeunes sénégalais pour arriver au sommet du pouvoir politique. Si les entrainements et les échauffements pour cette grande compétition politique ont entrainé depuis 2021 des dizaines de morts, des centaines de prisonniers jeunes et des milliards de francs C.F.A. d'investissements privés et publics détruits sans aucune responsabilité, sans aucun coupable, peut-on attendre un état d'âme de ces mêmes politiciens pour le combat final ? Ce sera un long marathon de la démagogie, du populisme, du mensonge, de l'immoralité et de l'amoralité de la classe politique sénégalaise; 6 mois de compétition harassants pour les citoyens sénégalais, épuisants pour l'économie sénégalaise, éprouvants pour la stabilité sociale sénégalaise où les politiciens sont les joueurs qui se permettent tous les coups pour gagner et les sénégalais, réservoir électoral sont des jouets voire des marionnettes entre les doigts habiles des politiciens sénégalais. Ils sont connus pour leur immoralité en violant tous les principes de la moralité sociale, religieuse et républicaine et en désaccord total avec nos principes de comportement, de conduite et de vie morale. Ce sera la continuité de 2021- 2023 ; période de l'amoralité de la classe politique sénégalaise tant leur conduite, leur comportement et leurs discours sont en déphasage total de toute morale humaine. Quel désastre pour les sénégalais de tous ces malades mentaux, ces mythomanes, ces demeurés, ces ignorants ces non éduqués qui veulent et doivent nous gouverner !!! Depuis 2021, le diable ne fait plus peur aux sénégalais car il est devenu moins dangereux que le "new" politicien sénégalais. L’amoralité de ce nouveau type de politicien sénégalais est arrivée jusqu'à détruire notre commun vouloir de vivre en commun de la nation sénégalaise pour un intérêt ad personam ; des notions ethniques, d'ethnicité, de sectarisme régional, d'appartenance socio- culturelle qui ont déstabilisé beaucoup de nations africaines sont en train d'être manipulées par des politiciens véreux. Il a raison cet ex premier ministre polonais qui a dit " seul en politique qu'un ange peut se transformer en pire salope." Cette affirmation est confirmée par le comportement de cette classe politique sénégalaise ; quel processus électoral des nations du monde depuis la naissance de la démocratie a-t-on vu avec 124 candidats pour un fichier électoral qui n'arrive pas à 10 millions ? Plus grave le discours de certains politiciens pour accéder au pouvoir est en train de basculer la nation sénégalaise surtout les jeunes dans un climat de haine démesurée, avec une nouvelle culture tyrannique et intolérante basée sur une absence totale de respect de toutes autorités étatiques, républicaines ou socio- culturelles. Malheureusement ce type de politique réjouit et influence lourdement nos enfants dans les écoles et les universités du pays. Malheureusement beaucoup de citoyens sénégalais particulièrement sa jeunesse dans un parfait instinct grégaire et un panurgisme total se soumettent totalement à des politiciens sans scrupules soit pour être de la chair à canon, soit pour un bras armé défiant toute autorité familiale et judiciaire prêt à toute forme de déviance sociale du moins au plus grave moralement pour la cause du parti. Les média qui devaient encadrer et conscientiser les masses jouant le rôle de quatrième pouvoir ont déçu car ses professionnels ignorent totalement leur rôle. Peut-on emprunter le cri d'alarme de Franz Olivier Giesbert dans le journal " les terriens du dimanche" du 7 Mai 2018 : " les média vont mal, les journalistes sont plus impopulaires que les prostituées" en faisant allusion à ce côté moutonnier des média. Ils suivent les politiciens par idéologie ou par intérêt pécunier oubliant leur neutralité par éthique et déontologie. C'est une position défendue en novembre 2016 par l'ex premier ministre slovaque Robert Fico à la présidence du conseil européen qui lui a valu les foudres les foudres de l'association des journalistes européens. Dans ce marathon de tous les dangers pour la nation sénégalaise, les média doivent récolter des informations justes, fiables et diversifiées au nom du respect de l'éthique et de la déontologie. Les média sénégalais dans cette confusion dangereuse pour la nation doivent rapporter des faits, donner des informations dans la plus grande neutralité et le respect des textes et des lois républicaines qui régissent leur métier noble. Les média ont l'honorable engagement social, citoyen et républicain d'aider et d'éclaircir les citoyens sénégalais dans leur choix en comprenant les programmes et les textes républicains proposés par un candidat. Malheureusement les hommes des média sénégalais dans leur compréhension de liberté d'opinion et de presse sont partisans et libres d'inventer des sornettes, de piétiner les principes démocratiques juste pour défendre leur homme politique sans aucun respect de l'article 5 du code de la presse. Les média sénégalais sont des spécialistes de la désacralisation des institutions politiques, sociales et étatiques sénégalaises à des fins propres. Les hommes des média sénégalais ont une vision courte de la chose politique car pour eux le champ politique se limite sur un terrain de 550 km2 (Région de Dakar) avec seulement deux citoyens sénégalais Messieurs Macky Sall et Ousmane Sonko. Pire les hommes de média sénégalais tirent leur popularité et leur professionnalisme à partir des nombres de vues d'un post sur les réseaux sociaux ; ils n'ont pas compris que les produits bon marché sans grande valeur ajoutée et périssable en une semaine attire beaucoup de clients. Depuis 2021, cette tension socio- politique qui a mis en danger l'harmonie et la paix sociales de notre pays part des média ; chaque journaliste de chaque type de média a sa version sur un événement socio- politiques. Certains hommes des média sénégalais sont vraiment des personnes toxiques qui choisissent leur victime en rejetant sur lui tous les maux de la société en tenant compte d'un intérêt matériel personnel. Ils jugent sans comprendre et écrivent ou parlent sans penser sur les tenants et les aboutissants de l'événement. Michel Gérard Joseph Colucci dit Coluche peut être parlait des média sénégalais en affirmant : " la seule chose exacte dans un journal est la date". Le danger de ce marathon électoral pour la nation sénégalaise partira du net ; une arme d'autodestruction massive impossible à contrôler, ni arrêter. L'instabilité socio- politique qui a commencé à la cour suprême sur ce problème de bulletin de parrainage va se poursuivre par une cyber agression, une cyberviolence, une cyber déstabilisation socio- politique avec un objectif final de faire des fausses informations pour installer jusqu'en février 2024 un climat de peur et de terreur pour essayer d'entacher le processus électoral. Les média mentent au peuple sénégalais car sont devenus des organes de propagande à la solde de la classe politique et des hommes d'affaires qui veulent contrôler le pays à des fins propres. Malheureusement il n’y a aucun moyen de contrôler et d'arrêter cette dérive consciente bien pensée et bien mise en œuvre par les média. Ni le C.N.R.A., ni le CORED, ni le tribunal des pairs, ni le SYNPICS n'ont les moyens de lutter ou d'affronter cette situation car ils peuvent prendre des décisions contre des journalistes professionnels membres ; mais comment arrêter ces intrus de la presse caricaturés par les professionnels de la presse de RACAILLE sans foi, ni loi, ni éthique, ni déontologie en un mot des rapaces en quête de gain qui ne répondent pas à l'article 1 de la convention collective des journalistes qui un diplôme de formation professionnelle. Pourtant ces média manipulateurs, gestionnaires de mensonges au profit d'un mentor politique qui paye bien sont dans la logique de la politique car Napoléon disait : " la politique est l'art de mentir". Dans ce long marathon qui pourrait mettre notre nation en danger en commençant par envoyer les jeunes sénégalais à la morgue, la société civile devrait être un gilet parballes. Mais de quelle société politique parle-t-on ? Il s'agit d'une société civile qui sert l'intérêt général et joue le rôle de médiateur entre les pouvoirs publics et les citoyens ; d'une société civile qui joue le rôle de contrepoids sans être partisan mais équitable pour le bien de tous les sénégalais. Ce Sénégal de Septembre 2023 à février 2024 a besoin d'une société civile qui propose des services et des activités non marchandes pour satisfaire la population. Qu'en est -il de la société civile sénégalaise ? De toute façon le dernier épisode de ce fondateur de la société civile sénégalaise ; peut-être même le plus âgé de la société civile qui a accusé la justice sénégalaise d'avoir mis en prison deux bébés et leur maman pour se rebiffer et se mettre à genoux devant le ministre de la justice pour demander pardon pour une information fausse largement véhiculée n'augure rien de bon. Si les sénégalais compte sur ce genre de responsable d'une société civile, ils peuvent se préparer à la souffrance. Mais ce n'est pas surprenant vu que beaucoup de membres de cette société civile sont accusés de vouloir s'assurer avec les décideurs étatiques pour raison pécuniaire ou d'être avec l'opposition pour faire du chantage à ces mêmes décideurs pour raison pécuniaire. De toute façon commencer ce marathon par la diaspora a son sens car Voltaire disait : " la politique est le moyen des hommes sans principe de diriger des hommes sans mémoire". Dans toutes les campagnes électorales, la diaspora est connue par sa culture d'instinct grégaire et de panurgisme ; elle a été toujours manipulée et menée par le bout du nez. La classe politique sénégalaise souvent trop populiste a toujours réussi dans la diaspora car réussit à gérer avec doigté les cruelles réalités de la recherche du pouvoir par des promesses utopiques et fallacieuses et populistes. J'espère, je souhaite ardemment que la diaspora pour ces élections de 2024 arrive à comprendre que le vote sert à défendre ses propres intérêts pour prendre son destin en main. Au Sénégal même les conducteurs de calèche contactés par un candidat met sur sa table un minimum de programme concernant ses intérêts et leur prise en charge. Pourquoi les syndicalistes et autres acteurs de l'immigration sénégalaises ne peuvent pas se réunir pour concocter un minimum de programme à tout candidat qui a besoin du vote des sénégalais d'Italie, un programme qui concernerait un accord bilatéral avec l’Italie pour la prise en charge des immigrés. Voter pour une idéologie est périmée, nous immigrés avons des problèmes et nous devons voter pour le candidat qui accepterait de discuter avec nous et à nous immigrés de faire le meilleur choix selon nos intérêts d'immigrés.

Magatte Simal C.A.D.E.E.S. Italie

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