Sénégal 2019 – 2024 : Des années de fléau et de malédictions

28 - Janvier - 2024

De 2019 à ce début de 2024, le monde entier a vécu des années dramatiques de pandémies et de guerres, des années de fléaux qui ont porté morts et souffrances humaines. Ces fléaux sont crise sanitaire, guerres, catastrophes naturelles ; l'année 2019 a ouvert ce cycle de malheurs avec la crise sanitaire de la Covid 19. Jamais la planète terre n’a connu autant de souffrances avec autant de morts dans toutes les couches sociales. La pandémie de la Covid 19 n'a pas tenu compte des hiérarchies sociales ; la mort a frappé sans distinction : jeunes, enfants, adultes et vieillards sont froidement tués par la Covid 19. Riches, pauvres, puissants du monde politique et financier, vedettes et autres n'ont pas échappé à la foudre de la Covid 19. Au-delà de cette covid, certaines parties du monde ont connu d'autres fléaux : de grands désastres d'origine naturelle et humaine ont ravagé et frappé beaucoup de collectivités humaines. Le Maroc a connu son tremblement de terre, l'Ukraine et Gaza s'enlisent dans une guerre meurtrière, la Libye a ses inondations, l'Est de l'Australie ravagé par des feux de brousses catastrophiques. Mais qu'en est-il du Sénégal avec ces années de fléaux de 2019 à 2024 ?
A l'instar de toutes les nations du monde, le Sénégal a d'abord eu sa grande part de la Covid 19. Dès le 2 Mars 2020, en effet le gouvernement du Sénégal annonce le premier cas de covid dans le pays. A la fin du mois de Mars, 175 cas sont confirmés. Devant cette catastrophe humaine, le gouvernement de Mr Macky Sall a réagi par la fermeture des ports et aéroports, l'annulation de la fête nationale de l'indépendance et enfin un couvre-feu a été décrété de 21 heures à 5 heures du matin. Malgré une réponse sanitaire efficace et adéquate qui avait fait du Sénégal le second pays du monde après la Nouvelle Zélande par son efficacité à la réponse sanitaire par la revue américaine Foreign policy, le pays a connu son lot de morts. C'est le plus grand désastre humain connu et enregistré par le Sénégal. Le 15 janvier 2021, notre pays a enregistré plus de 500 morts. Ce sont des chiffres qui n'ont rien de comparable avec les plusieurs milliers de morts des Etats Unis, de l'Europe ou de l'Asie. De mémoire de sénégalais, notre pays qui n'a jamais connu de guerres, ni de grandes catastrophes naturelles, la covid a été le plus grand fléau humain de notre histoire.
Malheureusement au moment où tous sénégalais musulman et chrétien se sont renfermés dans des prières pour implorer le bon Dieu pour nous débarrasser de cette catastrophe humaine, aucun sénégalais n'avait vu venir deux autres fléaux qui sont en train de faire plus de désastres humains, matériel et financiers que la covid 19. Celle-ci a fait un nombre de morts mais avec une réaction sanitaire adéquate, notre pays s'en sort, mais deux nouveaux fléaux arrivent ; font des morts et malheureusement sont entrain de menacer voire de détruire notre cohésion nationale. Dans l'histoire de l'humanité, des peuples ont été punis par Dieu par une catastrophe meurtrière à cause d'une faute immorale, amorale et impardonnable. Exemple Dieu a puni sévèrement par des fléaux humains des peuples de Sodome et de Gomorrhe et le pharaon.
Selon la Genèse 18 et 19 Dieu a puni les habitants de Sodome et Gomorrhe par une pluie de souffre et de feu qui a détruit les villes en tuant leurs habitants. C'est aussi avec une malédiction que Dieu a puni le pharaon et ses hommes qui poursuivaient le prophète Moise et ses hommes. Par miracle, ce prophète avait fendu la mer rouge pour faire passer ses hommes ; Dieu a refermé la mer sur le pharaon et ses hommes à la poursuite de Moise. Après la covid 19, notre pays est-il en train de recevoir sa part de malédiction divine ?

Une goutte d'eau dans la mare de malheurs et de désastres

Depuis 2019, tout être humain qui vit dans le territoire sénégalais s'est rendu compte que tous les malheurs qu'il a connus sont le travail de la classe politique et des hommes de média du Sénégal. Depuis 2019, classe politique et hommes de média ont porté à la nation sénégalaise morts, destructions, amoralité, immoralité et beaucoup de personnes en prisons par un discours bâti sur la haine, l'adversité, les calomnies, les invectives, les médisances et les mensonges. Tous les sénégalais, hôtes et étrangers ont constaté que la covid 19 n'est qu'une goutte d'eau dans la mare de malheurs et de désastres comparée aux multiples conséquences morales, sociales, économiques négatives avec des effets pervers, néfastes et nocifs de la politique et des médias sur la société sénégalaise. Hommes politiques et de média utilisent parfaitement un instrument qui méritent la malédiction divine : le MENSONGE. Celui-ci est donc premièrement un péché contre Dieu, avant même d'être un tort envers son prochain pour les religions musulmane et chrétienne. Les politiciens et hommes de média sénégalais devraient éviter de mentir aux sénégalais qui leur font confiance car tôt ou tard les mensonges refont surface mais la confiance se noie. Actuellement tout être humain qui vit dans le territoire sénégalais doté d'un bon sens s'est rendu à l'évidence que tout discours des politiciens et des professionnels de média est tout simplement un tissu de mensonges. Tous les acteurs sur le terrain politique et médiatique sont des menteurs invétérés, des baratineurs, des calomniateurs, des baveux voire des charlatans. Acteurs politiques et médiatiques à n'importe quel niveau et quel que soit leur degré et leur niveau d'engagement sont pires, sont plus mauvais que la maladie de la S.L.A. dans le corps d'un nouveau-né. La Sclérose Latérale Amyotrophique ou maladie de Charcot est une maladie neuro dégénérative grave qui se traduit par une paralysie progressive des muscles impliqués dans la motricité volontaire. En quoi les conséquences de la politique et des média dans la société sénégalaise sont pires que celles de la SLA dans le corps d'un enfant ?
L'impact négatif et désastreux de notre classe politique et des média sur la société sénégalaise commence d'abord par l'utilisation de la jeunesse sénégalaise comme chair à canon. Média et politiciens sénégalais cultivent dans l'esprit des jeunes sénégalais intolérances et exclusions sociales. Tout sénégalais qui ne pense pas comme notre dirigeant politique ou qui ne se conforme à notre ligne éditoriale est un égaré, un traitre. Politiciens et professionnels des média sénégalais pensent qu'ils sont investis d'une mission divine et utilisent même la violence, les menaces et les insultes pour combattre voire éliminer physiquement par la mort si possible tout sénégalais qui refuse de ranger derrière eux. Rien ne différencie ce sénégalais activiste politique et médiatique de Himmler, Goebbels, Göring ou Alfred Rosenberg ; ces figures du nazisme qui pensaient que l'idée ou l'attitude la plus noble pour un allemand était d'accepter le national-socialisme de Hitler sinon c'est la mort. Il suffit de lire sur les réseaux sociaux toute cette meute, toute cette horde d'incultes, d'ignorants, d'indisciplinés, d'incroyants, d'incrédules pour comprendre que la comparaison est logique. Un adulte père de famille qui invitent des enfants à aller bruler une école ou une faculté de l'université est pire que Himmler, Hitler ou Rosenberg. L'influence des politiciens et de leurs sbires dans les réseaux sociaux est plus dangereuse pour notre nation et notre jeunesse car le plus souvent politiciens, professionnels de média et leurs soutiens dans les réseaux sociaux surtout dans la diaspora en Europe et en Amérique sont politiquement controversés et juridiquement compromis. Il est accepté par tous les sénégalais que média et politique sont en porte à faux avec tous les impératifs de l'honnêteté et de la vérité. La question pour tous les sénégalais quel que soit l'âge ou l'appartenance sociale est de savoir si les hommes politiques et de média peuvent-ils dire la vérité ou être honnêtes pour la bonne et simple raison que sur le terrain politique et médiatique il n'existe pas LA RAISON mais MA RAISON ?

Le cynisme et l'hypocrisie

Les standards du Sénégal ou du sénégalais de la décence, de l'honnêteté, de la vérité en un mot de toutes les valeurs sociales positives de notre société ne sont jamais mis en pratique par les hommes politiques et de média.
Ces deux types de sénégalais qui ont une large influence sur notre société et particulièrement sur la jeunesse souvent ignorante, analphabète, inculte avec une éducation qui laisse à désirer ont souvent deux caractéristiques notoires : le cynisme et l'hypocrisie.
Comment ces politiciens et hommes de média peuvent-ils améliorer la situation du Sénégal, s'ils continuent à faire les mêmes bêtises sinon pires qui sont sources des difficultés de la nation ? A partir de là, on peut comprendre le rôle et la force de leurs instruments de manipulation sociale et leur capacité cynique et hypocrite de vouloir récolter les fruits de ces arbres qu'ils n'ont pas semés ni entretenus. Tristan Bernard parlait il de cette jeunesse sénégalaise manipulée, tirée par le nez par les politiciens et les média : " Deux choses m'ont toujours surpris : l'intelligence des animaux et la bestialité des êtres humains" On dit souvent qu'à certains animaux manque seulement la parole pour se socialiser, si on pouvait enlever à certaines personnes de la politique et des média sénégalais la parole au profit des animaux, le Sénégal serait plus épanoui.

Un modèle de réussite

Que faut-il faire pour sauver la nation sénégalaise de ces fléaux qui ont détruit plus de 90% de notre continent surtout la sous-région de l'Afrique de l'Ouest ? Pour la Covid 19, le docteur Seydi et tous ses collègues médecins et tous les travailleurs de la santé ont fait un travail exceptionnel pour sauver à la fois la nation sénégalaise et une partie de l'humanité. Le résultat plus que positif de leur guerre contre la covid 19 a sauvé le Sénégal mais surtout a été mondialement reconnu comme modèle de réussite. Mais qui pour sauver cette fois ci le soldat " SENEGAL" englouti jusqu'aux reins dans les sables mouvants de la politique et des média ? Notre cher SENEGAL qui s'était toujours distingué politiquement et démocratiquement peut être en péril avec ses hommes de média et de la politique beaucoup plus préoccupés de leur survie et de leurs intérêts ad personam que de ceux de la nation sénégalaise.
Cette meute de faucons politiques dont les principales caractéristiques sont l'égoïsme, l'égocentrisme, l'égotisme, le narcissisme avec le plus souvent un discours plein de mensonges, teinté d'une indiscipline notoire et d'une ignorance caractérisée et last but not least sont prêts à multiplier les malheurs et les souffrances de la nation sénégalaise juste pour s'asseoir sur le fauteuil présidentiel.
Si DIEU dans sa magnanimité, dans sa générosité illimitée ne gratifie pas le SENEGAL d'hommes politiques et médiatiques de la trempe morale, intellectuelle, éducative et professionnelle et humaine du Docteur Seydi qui s'était offert corps et âme pour sauver sa nation et l'humanité par son éthique et sa déontologie sans bruit ni trompette, notre CHER SENEGAL peut rejoindre le club des pays des noirs dans leur malédiction confirmant ainsi la légende de Noé qui avait béni ses fils Sem et Jaspet ancêtres des blancs et maudissant Canaan fils de son fils Cham selon la légende.

Magatte Simal
C.A.D.E.E.S. Italie

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