Europe : Ces immigrés pensent et agissent mal
L’immigré n'est que très peu perçu comme une menace pour l'emploi ou pour l'identité nationale de l’Europe ; l'immigré a plutôt tendance à être associé à l'idée de désordre, de déviance sociale selon l'équation désormais répandue immigration équivaut à crime. Cette déclaration dans le dossier statistique de la Caritas en 2002 a toujours été le médicament de dopage de la droite radicale et de l'extrême droite dans le champ politique européen. Si cette déclaration de l'institution catholique se vérifie dans la société italienne et européenne, il n'est pas difficile de confirmer que les immigrés dans leur comportement ont participé à sa concrétisation. Ce comportement décrié, dépréciée par bon nombre d'européens est un grand obstacle pour l'intégration sociale avec une conséquence principale ; le développement d'une culture politique xénophobe de droite qui attire de plus en plus d'européens comme bouclier de protection contre les immigrés. Cela semble vrai et est vérifiable ; selon un rapport du CENSIS, un centre d'études et d'investissement social en Italie ; pour 74% des italiens il y a une corrélation entre immigration et criminalité et 60% déclarent que les comportements indésirables de certains immigrés peuvent expliquer les opinions et les options racistes de beaucoup d'italiens qui revigorent les partis politiques de droite radicale et d'extrême droite partout en Europe.
L'insertion des immigrés dans les réseaux de la criminalité et du terrorisme islamiste est une réalité affirmée dans tous les pays européens. Déjà le 1° Septembre 1999, l'ex ministre de l'intérieur Giorgio Napolitano avait déclaré devant les sénateurs italiens : " à partir d'une enquête par sondage menée auprès de cinq importants établissements pénitenciers, 89% des extracommunautaires emprisonnés s'est avéré dépourvu de permis de séjour. Donc avant d'être régularisés, beaucoup de clandestins en Europe ont été attirés par les multiples criminalités qui profitent de leur vulnérabilité sociale en Europe. En 2007, 299.874 plaintes ont été faites contre des étrangers, 297.708 en 2008 et 259.434 en 2009. Il est donc vérifiable que depuis longtemps que les européens considèrent les immigrés comme une menace à la paix sociale européenne.
Actuellement en France, une réalité factuelle avec chiffres à l'appui montre une surreprésentation des étrangers dans la délinquance dans les métropoles françaises. La ville de Marseille entre les mains des gangs de la drogue est la preuve. Les immigrés dans la délinquance urbaine étaient de 33% à Lyon en 2017 pour passer à 44% en 2022, à Marseille de 23% en 2017 à 30% en 2022 et à Paris de 34% à 44%. Donc ces étrangers qui représentent 7% de la population totale française sont 23% de la population carcérale.
Un rigoureux contrôle des immigrés dans l'union européenne
Depuis les attentats de New York du 11 Septembre 2001, l'Europe a établi un link accepté par tout son peuple entre immigration d'origine musulmane et terrorisme. Il est difficile de démontrer le contraire car de jeunes musulmans de secondes et troisièmes générations d'immigrés souvent même avec la nationalité européenne sont impliqués dans tous les attentats terroristes dans tous les pays européens. En Octobre 2023, le terrorisme fait toujours peur à l'union européenne qui présente une série de mesures pour renforcer la sécurité par un rigoureux contrôle des immigrés dans l'union européenne. Les dernières attaques terroristes en France et en Belgique expliquent la menace terroriste encore élevée dans l'union européenne. En tenant compte que la situation entre Israél et le Hamas dans la bande de Gaza peut être source de radicalisation en Europe, Ylva Johansson, commissaire européen aux affaires intérieures a déclaré : " nous constatons qu’il y a de plus en plus d'attaques de loups solitaires, nous devons rester vigilants". Pour les opinions publiques européennes, immigration et terrorisme sont devenus les problèmes les plus difficiles auxquels est confrontée l'union européenne. Les attentats de France avec l'assassinat d'un autre enseignant et la dernière attaque terroriste en Belgique lors d'un match de football par un tunisien clandestin radicalisé ont mis en évidence la nécessité d’une coopération européenne renforcée pour lutter drastiquement contre les phénomènes migratoires.
L'Europe dans une insécurité totale, dans sa peur bleue de sentir les immigrés comme une épée de Damoclès sur la quiétude et la tranquillité de ses citoyens est en train de chercher protection entre les mains de l'extrême droite et de la droite radicale qui proposent des solutions de guerre totale contre les immigrés et l'immigration.
Il semble évident à partir des sondages nationales et européennes que le comportement des immigrés menaçant la société européenne a dopé les partis politiques xénophobes en Europe. " Qui sème le vent récolte la tempête"; ces immigrés qui ont suscité des troubles sociaux, qui piétinent les règles, les normes et les lois de leurs pays d'accueil ne doivent pas s'étonner d'en subir les conséquences.
L'union européenne désormais clairement dominée par des gouvernements des multiples droites est obligée de mettre l'accent sur la " guerre" contre les phénomènes migratoires. La palette politique de l'Europe de 2024 est composée de conservateurs radicaux et de libéraux ; ils sont parfois en coalition avec des minorités politiques xénophobes populistes d'extrême droite. Les tendances de ces droites multiples anti immigration vont vers la défense des intérêts nationaux basée sur la lutte contre l'immigration. L'arrivée au pouvoir d'une nouvelle génération de leaders néo nationalistes complique la situation des immigrés. Deux événements politiques majeures survenus en 2022 illustrent ce changement politique anti immigration. Le 22 Octobre, Giorgia Meloni des " Frères d'Italie" parti national conservateur post fasciste en alliance avec la ligue populiste de Salvini et Forza Italia de Berlusconi arrive au pouvoir en Italie.
Un échec de l'union européenne dans sa politique d'immigration
Le 14 Octobre 2022 en Suède, une alliance libérale conservatrice et les nationalistes de droite ont formé une nouvelle majorité parlementaire. Ainsi ces deux pays ont rejoint la Pologne et la Hongrie dans le rang des extrêmes droites au pouvoir. Surfant sur l’incompétence de l'union européenne en matière d'immigration, l'extrême droite anti immigration arrive donc au pouvoir. Cet échec de l'union européenne dans sa politique d'immigration a dopé partout en Europe les partis politiques d'extrême droite ; ils fonts des scores qu'aucun expert en politique pouvait imaginer depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Ce qui est inquiétant pour tout immigré en Europe, les partis libéraux et socio- démocratiques inquiétés par les percées des extrêmes droites dont le cheval de bataille est la guerre contre l'immigration est en train d'adopter cette même rhétorique et commencent à tirer sur l'immigration.
Les gouvernements nationalistes en Autriche, en Pologne, en république tchèque, en Slovaquie et en Slovénie s'opposent à la volonté de l'union européenne d'accueillir des clandestins venant surtout de Lampedusa d'Italie. Ce pays de Giorgia Meloni s'attaque à l'union européenne qui ne parvient à se fractionner les nombreux clandestins sur le sol italien. Soutenu en cela par l’Allemagne qui peut compter sur la C.D.U. et la C.S.U. qui s'opposent de plus en plus à l'immigration.
Des lois sur mesure pour un projet d'expulsion à grande échelle
Un autre danger plus grave guette les immigrés ; tout laisse croire que ces multiples droites nationalistes et xénophobes pourront remporter les élections européennes de 2024 pour avoir la majorité dans le parlement européen.
Donc au niveau national et européen, l'extrême droite anti immigration aura les mains libres pour décider du sort des immigrés. Déjà en Allemagne, selon le site d'investigation " Correctiv" les cadres du parti d'extrême droite A.F.D. (alternative pour l'Allemagne) en coalition avec des représentants des mouvances néo nazies envisagent des lois sur mesure pour un projet d'expulsion à grande échelle visant des étrangers et même des allemands d'origine étrangère.
La situation des immigrés en Europe n'est pas du tout enviable, pourtant tout est de leur faute. Les immigrés doivent revenir à la raison ; cette raison de se rendre compte que désormais ils ne pourront pas quitter l'Europe d'autant plus que c'est le continent de naissance de leurs enfants qui n'ont jamais été africains, asiatiques ou autres. Les enfants des immigrés sont des européens à part entière. Ils n'ont jamais eu ce double fardeau culturel comme leurs parents.
Ces pères et mères d'immigrés assistés de leurs associations doivent œuvrer pour l'intégration sociale de leurs enfants en leur donnant une éducation citoyenne et républicaine tout en préservant leurs caractéristiques sociales principales dont la religion et la langue d'origine.
Malheureusement le plus grand obstacle de tous les immigrés pour s'intégrer dans leurs pays d'accueil est qu'ils restent toujours sur leur identité culturelle de leurs pays d'origine et ne veulent jamais sortir de leur communautarisme. Ils continuent à s'enfermer dans les banlieues sans chercher aucun contact social avec les autochtones européen pour une appartenance sociale commune.
Magatte Simal
C.A.D.E.E.S. Italie
